Cahiers de Lectures de l'Ecriture, Artois Presses Université, 2006
La revue Graphè et les Cahiers de Lectures de l’Ecriture sont à l’écoute des multiples résonances de la Bible dans les arts, les littératures et la pensée. Le recueil de poèmes qui vous est aujourd’hui proposé fait partie de ces harmoniques qui construisent l’espace complexe et chatoyant de l’écoute et de la réponse, de l’image qui surgit de l’image par l’effort d’appropriation du paysage biblique, comme aurait pu le dire John-Henry Newman. [suite]
illustrations Kathryn Feldman, Farel Editions, 2005, 60 pages
Une bien utile introduction aux Chroniques de Narnia qui propose, après un essai biographique, un résumé des sept livres de la série. Ce livre offre un tour d'horizon simple et complet de l'imaginaire lewisien.
Droz, collection Titre courant, 2004, 635 pages
A l'époque moderne, l'éclatement de la chrétienté en confessions rivales, en un "catholicisme" et des "protestantismes", a suscité le développement de la controverse et l'élaboration d'une immense littérature religieuse. L'écrit, et particulièrement l'imprimé, devenait l'instrument du débat théologique et philosophique. [suite]
Editions Atlande, collection Clefs-Concours Anglais - Civilisation, 2006, 223 pages.
(en cours).[suite]
Paris, L’Harmattan, coll. « Structures et pouvoirs des imaginaires », 2005, 395 p. | recension par Myriam White.
L’ouvrage est la publication des actes d’un colloque international qui s’est tenu en avril 2003, à l’université catholique de Louvain. Il présente une réflexion sur l’idole ou plus justement sur les idoles car la notion est explorée dans plusieurs de ses significations et de ses valeurs. Ainsi, l’évocation même de l’idole est révélatrice d’une axiologie. Elle revient à questionner le rapport à l’autre et le sens du sacré. Qui plus est, l’idole peut se situer au carrefour de différentes problématiques, qu’elles soient esthétiques, théologiques, religieuses, politiques ou sociales. [suite]
Editions des facultés Jésuites de Paris, 2004, 122 pages
Il y a toujours eu un lien très fort entre la pensée de Paul Ricoeur et celle de saint Augustin. Un rapport certes parfois conflictuel, lorsqu'il est par exemple question du péché originel et des ravages que ce concept a opéré dans la civilisation occidentale, mais aussi une reconnaissance lucide de la dette que la philosophie aura toujours à l'égard de la phénoménologie augustinienne. [suite]
coll. « Histoire du texte biblique » 6, éditions du Zèbre, CH - 1408 Prahins, 2003, 412 p
Les vingt-sept livres qui composent aujourd’hui le Nouveau Testament ont été rédigés en moins de cent ans, entre 50 et 120 - pour donner la périodisation la plus large. Mais la transmission des textes a subi au fil des siècles maintes modifications, volontaires ou non, à visée apologétique ou à des fins de lisibilité. Une science cherche à repérer, identifier, décrire et analyser ces altérations : la critique textuelle. Son dessein est de se placer en amont de cette longue histoire et de retrouver, dans la mesure du possible, les mots, les tournures et les phrases des auteurs bibliques. [suite]
Éditions ENS Rue d’Ulm, 2002, 128 pages
Il convient de saluer ce petit recueil qui témoigne du regain d’intérêt pour la Bible dans toutes ses dimensions et notamment en tant que lieu exceptionnel de « configurations narratives symboliques » qui ont imprégné les imaginaires occidentaux ; Emmanuel Reibel dit à ce propos que « la Bible est source de vie et annales de l’humanité ». Il s’agit donc dans ce livre d’étudier les reprises des figures bibliques dans nos littératures, Balzac, Vigny, Baudelaire, Chateaubriand, Hugo, étant les noms qui viennent le plus aisément à l’esprit, mais de découvrir ou de redécouvrir la qualité « littéraire » des figures mythiques qui habitent la Bible elle-même. [suite]
Cerf, coll. Histoire du Christianisme, 2001, 194 p
A.M. Pelletier nous apprend, dans ce livre à la fois érudit, pénétrant et émouvant, à nous défier des stéréotypes et « du mauvais usage » des mots ; en toute chose, l’auteur nous demande le temps de la réflexion, de creuser sous les automatismes, la mauvaise foi qui tisse la trame du quotidien et retrouver autant que faire se peut, la réalité du lien complexe qui peut exister entre la femme et l’homme en chrétienté. Et ce n’est pas chose facile… Je viens de parler de la femme et de l’homme dont il nous est dit dans la Bible qu’ils forment une seule chair… mais ne vaudrait-il pas mieux commencer par l’identité féminine ? A.M. Pelletier ne le pense pas. [suite]
coll. « L’Antiquité : une histoire », Ellipses, Paris 2003, 176 p
Il existe de nombreux ouvrages sur l’empire romain notamment dans des collections destinées aux étudiants, mais les débuts du christianisme n’y sont guère détaillés. Paul Mattei, professeur de langue et littérature latines à l’Université Lumière-Lyon II, est un spécialiste de la période patristique. Dans le manuel qu’il publie aux éditions Ellipse sur le christianisme ancien, il retrace plus de cinq siècles d’histoire (dans son acception la plus large), de la prédication du Christ jusqu’à l’aube du Moyen Age. [suite]
traduit de l'italien par Elena Si Pede, Editions Lessius, coll. "Le livre et le rouleau" (diffusion Cerf), 2001, 144 pages
Ce petit livre publie deux conférences sur le rapport entre les « histoires » bibliques et l’Histoire, au sens d’historicité ou de véracité. Si l’affirmation centrale du christianisme est que Dieu intervient dans l’histoire, alors il faut pouvoir vérifier « l’enracinement historique » de ces affirmations de foi. Quel crédit peut-on en effet apporter aux témoignages du Nouveau Testament ? [suite]
Presses de l'Université de Lille, Collection UL3, 2002, 308 pages, 23 €
Il s'agit de la publication des Actes d'un colloque organisé à Lille en 2000 par l'équipe de recherche "Textes et Interculturalité", en collaboraiton avec l'Institut Fédératif de Recherche en Histoire et Sciences des Religions. Dans son introduction, Pierre Vaydat expose les principes méthodologiques appliqués par les initiateurs de ce Colloque international. Le thème de la défiguration englobe tous les faits et les mythes relatifs à ce qui généralement est appelé "condition pécheresse, aliénation, décadence, dégénérescence"... [suite]
Cerf/Université de Metz – Centre de la Pensée Chrétienne, 2001
Ce volume de 430 pages réunit les communications données au colloque international de Metz en juin 1999, organisé par le dynamique Centre de Recherche sur la Pensée Chrétienne. Dans son introduction, P.M. BEAUDE rappelle que « le discours religieux n’est pas le propre de la théologie », tant il est vrai que cette forme de discours est partagée non seulement par le théologien, mais aussi par le littéraire, et par les littératures. [suite]
Editions Atlande, 2003, 224 p
Ce livre, destiné aux étudiants de civilisation américaine qui préparent les concours, devrait toucher un public plus large par l'éclairage qu'il apporte sur l'oeuvre de R. W. Emerson, père du transcendantalisme, exemple et presque paradigme d'une philosophie "américaine" à l'aube des temps modernes. Il s'agit en fait d'un prolongement assez logique des conceptions puritaines familières à ceux qui constituèrent les premières communautés politiques et religieuses de la Nouvelle Angleterre. [suite]
N° 174. Nov-Déc 2006
L'Evangile de Judas. Les dernières révélations. Judas, acteur ambigu de la Passion du Christ, doit-il être considéré comme l’instrument nécessaire à l’accomplissement des Écritures ou comme un homme libre qui choisit délibérément le Mal ? Cette question a été relancée au printemps dernier par la redécouverte d’un évangile apocryphe oublié, attribué à Judas.
N° 15 - 2004
Juvenilia ... Ecritures précoces.
N° 27
Exil et traditions / Exil ou traditions. Minorités et écrivains de la minorité, sous la direction de Marc Michaud, UCO/L'Harmattan, 2005 (Les Cahiers de CIRHiLL, de l'Université Catholique d'Angers, sont dirigés par Yannick Le Boulicaut).